Comme pour les autres secteurs, je souhaiterais faire le point sur les avancées réalisées dans la gestion de la crise et la préparation du déconfinement concernant le secteur de l’éducation permanente. Lors de la dernière réunion de notre commission, Madame la Ministre, vous avez déclaré dans votre réponse à ma question que le secteur de l’éducation permanente n’avait pas accès au fonds d’urgence, mais que vous restiez toutefois disposée à prendre en considération toute situation particulièrement inquiétante ou compliquée que vivrait une association reconnue dans le cadre du décret relatif au développement de l’action d’éducation permanente dans le champ de la vie associative.
À cet égard, je souhaiterais savoir si de tels cas, où la viabilité d’un opérateur serait menacée à cause de la crise, ont été portés à la connaissance de votre cabinet. Dans l’affirmative, quels sont ces opérateurs? Une réponse a-t-elle pu être apportée? Dans l’affirmative, laquelle? Par ailleurs, il était question d’un travail de concertation pour définir un calendrier adapté. L’éducation permanente a-t-elle été bien intégrée dans ces réflexions? Pouvez-vous nous donner des éléments de réponse à ce sujet?
Enfin, il était question d’un travail de concertation également sur la gestion de l’application du décret, notamment sur l’élaboration d’un calendrier de travail adapté ainsi que sur la définition de la notion de souplesse dont il serait fait usage dans le cadre du processus de renouvellement des agréments. Pouvez-vous nous informer sur l’état d’avancement de ces démarches et de ces réflexions? Quelles sont les conclusions qui ont été tirées à ce sujet?
Retrouvez mon intervention ainsi que la réponse de la ministre sur le site du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles.