La législature précédente a été notamment marquée par les débats autour de la réforme du dispositif wallon d’Aide à la Promotion de l’Emploi, ou APE. Cette réforme, dans sa dernière mouture, entendait s’opérer par une modification radicale de le mode de calcul et d’octroi de la subvention mais aussi par un transfert budgétaire conséquent entre la Région wallonne et la Communauté française.
Dans le contexte particulier que nous connaissons, j’aimerais vous faire part de ma préoccupation après la lecture de deux articles relatifs à la mise en œuvre des dispositifs d’accueil et de scolarisation de primo-arrivants (DASPA) dans des établissements avoisinant le centre Fedasil (Agence fédérale pour l’accueil des demandeurs d’asile) d’Herbeumont.
La crise sanitaire a eu d’indéniables conséquences néfastes sur l’activité touristique à Bruxelles, notamment durant l’été. Ainsi, les médias ont présenté à de multiples reprises les difficultés rencontrées par notre capitale à cet égard, contrairement à la région wallonne qui semble ne pas avoir subi une telle baisse d’activité touristique durant cet été.
Le 13 juillet dernier, un communiqué de presse annonçait la parution du rapport intitulé « Un futur pour la culture » et rédigé par le groupe de réflexion constitué quelques semaines auparavant. Ce groupe, composé d’une cinquantaine de membres aux profils et expériences diversifées, avait été mandaté non pas pour identifier des mesures techniques et des leviers à activer, secteur par secteur, mais bien pour réfléchir au redéploiement du secteur culturel de manière globale (…)
Dans un courrier daté du 24 juin 2020, le Secrétaire Général du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Frédéric Delcor, invitait l’ensemble des acteurs subventionnés par la FWB à remplir, pour le 13 juillet au plus tard, une grande enquête relative aux conséquences de la crise sanitaire et de la période de confinement sur leurs fonctionnements, pratiques professionnelles et activités.